Aissatou Konate Traoré nous raconte l’histoire de quelques Afrique. Voyageons, en sa compagnie, dans les pays que traverse Orange Money.
C’est le moment de faire vos pronostics !
Aujourd’hui 5 équipes africaines se mesurent aux meilleures équipes du monde. Et en 2026, combien seront-elles ? Aissatou vous raconte.
Tel est la devise de la patrie des hommes intègres.
Tour d’horizon sur ce pays riche en histoire et en culture 🇧🇫
Ma-ma-se, ma-ma-sa, ma-ma-ko-ssa ! Ma-ma-se, ma-ma-sa, ma-ma-ko-ssa ! 🎶
Célèbre et grand saxophoniste Camerounais, le regretté Manu Dibango nous laisse un héritage musical riche et teinté de Soul Makossa. Natif de Douala au Cameroun, Papa Groove a fait danser et chantonner des milliers de personnes à travers le monde.
Comme on dit au Cameroun » Un lion ne meurt jamais » 🇨🇲
La star et héroïne de la série « « Maitresse d’un homme marié nous raconte son parcours, de son enfance à sa nouvelle série « Le futur est à nous ». Elle nous explique les difficultés d’être sous les lumières, des joies et du bonheur de jouer, et des ambitieux projets qui la poussent. Interview par Aissa Thiam.
Aissatou Konaté Traoré est une présentatrice et animatrice TV franco-malienne, un profil atypique qui a su s’imposer comme l’une des voix les plus représentatives des diasporas africaines dans la sphère médiatique. En poussant les murs et en offrant de la visibilité à d’autres talents, au gré de ses nombreuses expériences télévisuelles et événementielles en France et sur le continent africain.
En 2021, on l’a notamment vu endosser le costume d’animatrice sur Best Chef Africa, programme Orange Money Europe, mettant en avant la présence et l’influence de la gastronomie panafricaine en Europe. Celle qui aime se présenter comme parisienne et africaine, est aussi une entrepreneuse déterminée, qui aime relever de nouveaux challenges et multiplier les rencontres. Échange avec Aissatou Konaté Traoré, une présentatrice qui monte, qui ose et qui s’engage quotidiennement pour rapprocher les deux Continents.
Je n’ai jamais pensé ni même osé rêver un jour présenter des émissions télévisées ou des événements. L’oral a même longtemps été mon point faible ! (rire).
Pourtant après des études en commerce international à Paris, puis de business management et marketing international à New-York, et une première expérience dans le secteur médical, le destin m’a amenée à suivre une formation dans l’audiovisuel durant mon temps libre.
Je sais, c’est un peu étonnant mais l’audiovisuel ne m’a pas attiré parce que j’aspirais à la célébrité ou la télévision mais plutôt car mon métier m’imposait la prise de parole en public.
Et voilà comment commence mon aventure audiovisuelle… De fil en aiguille, ma formation à l’ACAD m’a menée sur les plateaux télévisés, de stagiaire à chroniqueuse, puis d’animatrice à productrice !
Parallèlement, je présente des événements dont les sujets varient : concours d’éloquence à l’Assemblée Nationale, la Nuit 1 et la Nuit 2 du Mali à Bercy, des événements pour la Francophonie, La journée de l’Afrique, des tables rondes sur l’entrepreneuriat ou encore des élections de Miss, etc.
Il faut le dire, ce n’est pas un métier facile et la difficulté principale et plus encore lorsqu’on débute, est le manque d’opportunités et de perspectives d’évolution, notamment sur les grandes chaînes télévisées, ainsi que la difficulté à convenablement gagner sa vie.
Heureusement, grâce à la diversification de mes activités, j’ai pu élargir mon réseau de contacts, ce qui m’a permis d’intégrer des émissions pour Santé Publique France ou de nouer des partenariats avec de grandes marques comme Orange Money Europe.
Soyez confiants. Ça va changer. Sachez que, dans ce secteur, nous sommes beaucoup à préparer le terrain pour les plus jeunes générations. C’est une cause qui me tient particulièrement à cœur. Je ne souhaite pas que, dans quelques années, la jeunesse afrodescendante ait encore autant de mal à « percer ».
Dans cette optique, j’ai cofondé avec plusieurs entrepreneurs le Réseau des Entrepreneurs de la Diaspora Africaine (REDA) puis, souhaitant aller plus loin dans l’entraide, j’ai créé le Club de Soutiens Actifs et Solidaires où j’ai pu rencontrer des personnes aussi motivées que moi.
Notre rôle est de faire correctement passer le flambeau. Mais ça ne se fera pas tout seul bien sûr. Pour cela, il est important de se créer des réseaux, il faut référencer les forces vives et utiles, identifier les profils et les connecter.
Si je devais résumer ce qui me semble essentiel en 4 conseils : osez, rencontrez, innovez, excellez !
J’ai d’abord eu la chance de beaucoup voyager. Et pour choisir une destination, internet est le premier réflexe. Cependant, je constatais à chaque fois la difficulté plus prononcée à trouver des informations dès lors que les recherches concernaient l’Afrique subsaharienne.
Ensuite, le tourisme est à mon sens le secteur le plus inclusif sur le continent. Lorsque le tourisme croit, l’impact ressenti est immédiat sur les populations et notamment sur les plus défavorisés, comme les vendeurs ambulants.
L’objectif de cette plateforme est donc de mettre plus en avant des professionnels locaux permettant de découvrir l’Afrique de façon plus authentique avec des expériences locales plus dépaysantes que ce qu’on a l’habitude de voir.
Notre but c’est aussi de permettre à l’Occident de voyager en Afrique à travers des initiatives immersives, à l’instar de notre tour d’Afrique intitulé “Mon Beau Pays” en partenariat avec Orange Money Europe. Chaque mois, un pays d’Afrique est mis à l’honneur et à la fin de l’année, le pays qui aura su le mieux nous transporter remportera le concours.
Oui, énormément. Je me trouvais dans une situation dans laquelle j’avais un bon poste, avec de belles perspectives d’évolution. J’avais poursuivi les études nécessaires pour devenir une cadre internationale. Et finalement, faire le choix de l’entreprenariat était celui de tout abandonner pour entreprendre. Cela sous-entendait en premier lieu une baisse importante de mes revenus et beaucoup d’incertitudes. Heureusement, j’ai été très bien accompagnée dans cette aventure par mon époux et ma famille qui furent de véritables soutiens m’empêchant au mieux de baisser les bras.
Tout simplement, je parviens à joindre mes deux activités en faisant en sorte qu’elles soient non seulement liées mais aussi qu’elles soient utiles l’une pour l’autre.
Ma définition d’un entrepreneur, c’est une personne qui arrive à dépasser la peur de l’inconnu mais surtout la peur de l’échec animée par la ferme volonté d’être libre et qui ne souhaite pas mourir sans avoir essayé de réussir… c’est ma définition très personnelle !
Selon moi, les principales qualités qu’un entrepreneur doit posséder sont la détermination, la résilience ou encore les capacités d’organisation et d’adaptation.
Dans mes différents rôles, j’entretiens toujours cette volonté de mettre en avant ces héros du quotidien, ces gens qui font beaucoup pour les autres en silence, mais aussi ces talents à qui ils manquent ce petit coup de pouce pour briller.
Par ailleurs, j’essaie de promouvoir l’inclusion de tous, par tous. Je pense qu’il n’est pas utopique de croire en une société bienveillante. Il faut participer à sa construction, le plus possible, chacun à notre niveau.
Le plus important pour moi reste d’établir une proximité avec mon public, tout en restant une personne accessible. Par ailleurs, je me suis toujours imposée de présenter des sujets instructifs afin de faire en sorte que le temps que vous passerez à me regarder la télé vous soit bénéfique.
Au collège, ma professeure de français m’a demandé devant toute la classe ce que je souhaite faire plus tard. Je lui ai répondu sans aucun doute : “femme d’affaires, comme Jill Abbott dans les feux de l’amour” ce à quoi elle a rétorqué que ce n’était pas un métier, et qu’il fallait que je sois plus précise. Je me rappelle précisément de ce moment et de mon agacement, mais ce n’est que des années plus tard que j’ai compris le rôle déterminant de cette question dans mes choix. Grâce à cet épisode, j’ai su très tôt que je souhaitais évoluer dans le commerce international. Entrepreneure également, je l’ai su très tôt.
Par contre je n’ai jamais rêvé de devenir présentatrice. Pendant très longtemps, c’était même impensable au vu de ma timidité et de mes difficultés d’expression à l’oral. Il m’aura fallu attendre mon voyage aux Etats-Unis pour comprendre que mes lacunes n’étaient pas une fatalité, qu’avec du travail et de la volonté, je pouvais complètement changer.
J’appelle ça la mentalité « yes we can » !
Ce fut une très belle expérience ! Je me suis régalée… gustativement mais aussi humainement ! Best Chef Africa est le premier concours de gastronomie africaine en Europe. Il a réuni de très talentueux chefs cuisiniers issus du continent africain et a permis de révéler au grand jour les cuisines locales et leurs spécificités. De belles rencontres et partenariats ont vu le jour suite à ce concours, et c’est ce que je retiens. Les participants ont tout de suite compris que s’unir serait le moyen de faire rayonner les gastronomies africaines en Occident. Ce concours a simplement donné une belle leçon, en confirmant le dicton : « Seul on va vite, ensemble on va loin ».
Mon premier passage télévisé fut catastrophique. Et pourtant, c’est cet échec qui m’a poussée à prendre ma revanche et finalement à aller plus loin que je ne l’aurais été si ma première expérience s’était avérée concluante. Se relever après avoir échoué demande tellement d’efforts, que je ne pouvais pas m’arrêter après avoir eu autant de difficultés. Alors j’ai continué et 10 ans plus tard je me dis toujours que je peux aller encore plus loin !
Le premier évènement que j’ai présenté à Bercy grâce à Dawala (surnommé Wati Boss, c’est le créateur du label Wati B qui produit le groupe Sexion d’Assaut), restera le moment incontournable et le plus marquant de ma carrière. Ce fut un événement magique durant lequel je me suis réalisée en tant que présentatrice, auprès des plus grandes stars du moment, devant près de 20 000 personnes et loin de la petite Aïssatou timide. Quelques minutes avant de monter sur scène, j’ai eu un petit moment de panique. J’étais tout simplement en train de réaliser que j’allais franchir une très grande étape de ma vie !
A côté de cela je retiens aussi par leur impact sur la scène nationale et internationale; mon échange en tant que journaliste avec le président E.Macron lors de la 6e conférence de restitution du Fonds mondial mais aussi ma rencontre avec Bill Gates, la modération de l’échange sur les GAFAM mis en place par la Francophonie, la présentation de la journée de l’Afrique avec Madame la ministre Elisabeth Moreno tout comme la présentation de la Fashion week de Ouagadougou.
Et enfin sans hésitation, les concours annuels d’éloquence des jeunes à l’Assemblée Nationale mis en place par Mme Haidara.
La France a une histoire commune avec plusieurs pays d’Afrique. Ce lien est et sera toujours présent à travers la diaspora, qui joue le rôle de trait d’union. Les diasporas ont clairement enrichi la France, l’un des pays avec l’une des plus belles diversités culturelles au monde. La diaspora participe au rayonnement mondial de la France et dans plusieurs domaines, d’autant plus qu’elle est très active. En Ile-de-France, il ne se passe pas un jour sans un événement en lien avec le continent africain.
En France, les événements en lien avec le continent africain sont nombreux et divers. Toutefois, en plus du manque de visibilité, il reste parfois compliqué d’avoir les informations des événements culturels potentiellement intéressants, car ces informations sont éparpillées. Voilà pourquoi l’agenda des diasporas a vu le jour. Tous les mois sur la page Facebook et du site web d’Orange Money Europe, il est dorénavant possible de retrouver les événements immanquables du mois, avec toutes les informations pratiques.
C’est une très belle initiative, qui profite à tous et à laquelle j’ai tout de suite adhéré. Grâce à cet agenda, les organisateurs gagnent en visibilité pendant que, dans l’autre sens, ceux qui souhaitent sortir sont en possession de toutes les informations, qu’ils peuvent retrouver à un seul et même endroit.
C’est une chance de pouvoir voyager et quand on le peut, il faut voyager. Je parcours et visite les différents continents depuis très jeune. Partir à l’aventure, découvrir d’autres cultures, d’autres modes de vie, vivre les réalités des habitants de différentes parties du monde, cela m’a clairement enrichie. Voyager m’a permis d’acquérir une certaine maturité, de relativiser, d’apprécier pleinement la vie, de prioriser mes objectifs et surtout de développer l’empathie, cette capacité à comprendre et à se mettre à la place des autres.
Je représente mes différentes cultures en étant simplement moi-même. La France et mon continent d’origine cohabitent en moi, en totale harmonie. J’ai la chance de pouvoir avoir plusieurs regards, de comparer, de choisir, de nuancer, d’adapter à ma guise et en toute légitimité, car je suis à la fois d’ici et de là-bas. Je n’ai pas à choisir entre le fromage et le mafé, ils me représentent tous les deux et surtout j’aime les deux.
Les différentes cultures qui font qui je suis m’ont poussée à créer l’association « Tous In », accompagnée du projet d’émission de télévision du même nom. Son thème porte sur la promotion de l’inclusion, qu’elle soit culturelle, ethnique, d’âge, liée au handicap, etc. Le monde a besoin de voir, d’affirmer et d’assumer que le plus beau modèle de société demeure celui qui accepte chacun d’entre nous, tel qu’il est. Nous sommes « Tous In » !
Le Trophée des Plumes est nait d’une volonté commune de Youscribe et d’Orange Money Europe de faire découvrir de nouveaux talents, de donner l’opportunité à tous de s’exprimer par l’écriture.
Pour participer, il fallait écrire une courte nouvelle de 8000 mots et de déposer votre texte sur la plateforme YouScribe.
Ce concours était ouvert à tous.
La nouvelle ayant cumulé le plus de votes sur YouScribe est Grace KABOUL
Nationalité : Congolaise
ville de résidence, pays : Matadi, République Démocratique du Congo
Âge : 25 ans
Profession : Enseignant
Expérience en tant qu’auteur : Un roman publié deux rencontres une vie nouvelle, Kinshasa, 2021 ; quelques manuscrits achevés, mais non édités dont un roman, un recueil de poèmes et une pièce de théâtre.
Les membres du jury ont désigné Kouadio Epiphane Ahmed KONAN
Nationalité : Ivoirienne
ville de résidence, pays : Abidjan, Côte d’Ivoire
Âge : 22 ans
Profession : Étudiant
Expérience en tant qu’auteur : Je suis auteur de quelques œuvres non encore publiées. Par ailleurs, j’ai eu à participer à certains concours de nouvelles.
Djaïli Amadou Amal désigne son texte préféré à Fatou DOUMOUYA :
Nationalité : Sénégalaise, Française
ville de résidence, pays : Paris, France
Âge : 38 ans
Profession : Entrepreneur
Expérience en tant qu’auteure : Pas d’expérience particulière juste passionnée par la littérature, la poésie… écrivain en herbe.
Du 14 mai au 31 mai 2022 : dépôt des textes sur le site YouScribe
Du 1er juin au 21 juin 2022 : vote du public qui décernera son prix
7 juillet 2022 : désignation des 3 Plumes gagnantes et remise des prix
Née en 1975 à Maroua au Cameroun, Djaïli Amadou Amal est une femme de lettres et militante féministe camerounaise, lauréate du Prix Goncourt des Lycéens 2020 pour son roman Les impatientes et de sept Choix Goncourt internationaux. Prix de la Femme d’Influence, elle est également sacrée Autrice de l’année 2021 en France.
En 2012, elle fonde l’Association Femmes du Sahel pour l’éducation et le développement de la femme dans le Nord-Cameroun. Djaïli Amadou Amal est Officier de l’Ordre National de la Valeur dans son pays.
Plume d’Or 2021
Plume d’Argent 2021
Plume de Bronze 2021
Coup de Coeur du Jury 2021
Le trophée de plumes a été ce moment où je me suis rendue compte que j’avais une vraie communauté autour de moi.J’avais une communauté qui croyait aux mots que j’avais écris et qui savait comment me soutenir. J’ai connu Youscribe bien avant de participer au concours trophée de plumes . Lorsque Canal + avait offert un pass d’un mois, j’en ai profité pour visiter cette nouvelle plateforme. J’ai été éblouie par ces livres qui parlaient de tout horizons. Alors cela a été une opportunité de participer au concours. Au début c’était fatiguant, j’ai voulu arrêter parce que pour moi impossible de faire aimer mon histoire. Je suis alors allée lire les textes de certains participants. J’étais encore plus tétanisée, mais sous le charme, c’était des textes fabuleux. Je me disais pourquoi avoir peur ?
L’essentiel était que j’avais passé le cap d’être capable de raconter une histoire et surtout de la voir partager aux autres et cela grâce à Youscribe. Le Trophée des plumes m’a donner plus de courage à dire des mots, former des textes, mais surtout des mots pour parler.
Je souhaite à tous et à toutes de vivre cette aventure que j’ai vécu. Celle de la joie, de la peur, de l’attente mais surtout celle du bonheur de lire autant de belles histoires. Pendant l’aventure trophée de plumes, vous allez lire toutes sortes d’histoires, des histoires tellement belles. Mais surtout vous serez capables de vous exprimer vous même et de faire exprimer les autres. Bonne chance à tous et que la fête des mots soit bonne.
Notre marraine du Trophée 2022 et auteure.
Responsable Engagement Client chez Orange Money depuis 2 ans, Bruno Guivarch est en charge de l’animation du service. Initiateur de la phrase « Orange Money, plus que du transfert d’argent », son ambition est de faire d’Orange Money un pont entre la France et l’Afrique. De nombreuses actions ont déjà été entreprises pour valoriser les entrepreneuses qui œuvrent des deux côtés de la Méditerranée, la cuisine africaine et maintenant l’écriture, notamment à travers ce Trophée.
Anne-Sophie est la Directrice des Opérations (COO) chez YouScribe. Passionnée de culture au sens large, franco-allemande, avec un double parcours humanités & business, elle a notamment travaillé dans le monde du cinéma, des musées avant de s’engager dans le projet YouScribe ; avec la volonté de faire de chaque portable une bibliothèque de poche, accessible à tous.
Angélique Amougou est la responsable des Médias chez Adamant. Née en France, Angélique a grandi au Cameroun à Yaoundé. Elle est diplômée de l’ICD business school et du MBAESG business school. De par la richesse de sa double culture, Angélique nourrit une passion pour l’écriture et la littérature en général.
Françoise Fernandez est la Responsable des partenariats culturels de la Fondation Orange. Elle pilote notamment depuis 2019 le Prix Orange du Livre et le Prix Orange du Livre en Afrique, qui vise à valoriser les maisons d’édition et la richesse de la production africaine. Elle est également responsable de la grande communauté de lecteurs lecteurs.com, qui regroupe de nombreux amoureux de la lecture en France.
Sarah MODY est la directrice éditoriale de Nimba Editions. Lectrice curieuse et passionnée, elle est aussi chercheuse d’or ou de talents depuis le début de l’aventure Nimba en Côte d’Ivoire.
Ray NDÉBI est écrivain bilingue, traducteur littéraire (anglais et français), analyste littéraire. Co-fondateur d’Ônoan, il est encadreur principal des ateliers et master class Ônoan en Creative Writing, Creative Reading et Traduction Littéraire. Il est aussi promoteur du Livre de Qualité et de l’écriture naturelle.
Arlette TOGNIA, a rejoint après des études supérieures en communication et marketing, la société AFRICA MEDIA SA où elle occupe le poste de responsable des partenariats pour Africa Radio Paris. Son but est d’entretenir le lien entre le média et ses collaborateurs en vue de réaliser leurs objectifs communs. Arlette est une grande passionnée de voyages, de photographies, d’art, de musique, de lecture, de cinéma, de mode, … de culture en général !
Pour fêter la Saint-Valentin, jouez et tentez de gagner deux bracelets de la collection « Let’s Commit » par le joaillier Courbet, en or jaune recyclé et diamant de synthèse !
Les gagnants seront contactés pour recevoir leur bijou en France ou en Belgique.
Dans le cadre de son programme solidaire Let’s Commit, Courbet reverse 15% du prix de vente de ce bracelet à l’association « Save Children », dont nous sommes partenaires.
*Prix public.
Dans le cadre de son programme solidaire Let’s Commit, Courbet reverse 15% du prix de vente de ce bracelet à l’association « Save Children », dont nous sommes partenaires.
*Prix public.
La vocation de Courbet, est de proposer une nouvelle joaillerie, écologique et plus éthique, moderne et très créative, respectueuse des savoir-faire. Les diamants sont créés en laboratoire par des hommes soucieux de la planète et de ceux qui la peuplent. Magie de la haute technologie, mystère de la science, les diamants sont aussi précieux que nos valeurs.
Le diamant synthétique s’évalue en fonction de quatre critères, exactement comme pour le diamant naturel : les 4 C : Carat (le poids du diamant), Color (la couleur du diamant), Clarity (la pureté du diamant) et Cut (la taille du diamant).
À ces 4C, Courbet en ajoute un cinquième : le C de Conscience. En employant des diamants synthétiques. Courbet revendique une alternative toute aussi positive que innovante, moins polluante et plus respectueuse socialement.
De la même manière, pour l’utilisation que des diamants de synthèse, concernant l’or, la maison Courbet étudie les différentes options pour choisir celle qui respecte le plus l’écologie. L’or recyclé a remporté tous les suffrages, parce qu’il permet d’éviter l’extraction.
Même orchestré dans les meilleures conditions, le travail dans la mine reste extrêmement polluant. Il engendre la déforestation, une consommation excessive d’eau, la pollution des sites en raison des produits chimiques employés. D’un point de vue humain, les conditions de travail dans les mines, l’émergence de filières illégales, le financement d’économies parallèles sont des travers terrifiants. Courbet cherche à prendre du recul et chercher une alternative en cherchant à voir plus loin, à plus long terme.
Courbet fait le choix de partenaires spécialisés dans le recyclage des métaux dont la spécificité est de recycler l’or utilisé à des fins industrielles, en électronique. Très résistant à la corrosion et excellent conducteur électronique, l’or a des propriétés qui le rendent précieux, au-delà du bijou.
Le label Positive Luxury a pour ambition d’accélérer les initiatives écologiques et responsables dans l’industrie du luxe, et de saluer les marques œuvrant en ce sens. Dans le sillage d’une étude indépendante, l’organisation délivre ainsi la certification Butterfly Mark, gage aussi bien pour l’entreprise que pour les consommateurs d’une production et d’engagements durables et respectueux de l’homme et de la nature.
Le joaillier Courbet s’engage par le choix de ses matières premières responsables, mais pas seulement…
Il s’engage également à reverser 15 % du prix de vente des bracelets de la collection « Let’s Commit » pour l’association Save The Children.
Survivre. Apprendre. Et être protégé. Telle est l’ambition de Save The Children, depuis plus de 100 ans, pour que chaque enfant à travers le monde ait la chance qui lui revient. Pour ce faire, l’association agit afin d’éliminer les causes de mortalité infantile évitables, de garantir un accès à une éducation de qualité fondamentale et de bannir la violence à l’encontre des enfants, sous toutes ses formes.
*Grand Jeu de la St-Valentin du 24 janvier au 13 février 2022. Voir conditions du Jeu détaillées en cliquant sur le lien du réglement.
Depuis peu, les envois d’argent sont possibles de la France et de la Belgique vers le pays des lions de l’Atlas !
En France, il faut télécharger l’application sur les stores Androïd et Apple puis, s’inscrire en suivant les différentes étapes.
Scanner votre carte bancaire. Et voilà, c’est tout ! L’envoi d’argent se fait sur les comptes Orange Money Maroc ou dans les boutiques Cash Plus.
Des centaines de boutiques en France peuvent aussi vous accueillir pour les inscriptions et les transferts.
Au Maroc, les personnes qui reçoivent l’argent peuvent :
• Transférer cet argent à d’autres personnes
• Acheter des recharges téléphoniques
• Payer des factures
• Retirer cet argent
• Dans le réseau Cash Plus, elles pourront retirer l’argent en cash.