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Actualités

Grand Jeu de la Saint-Valentin

Orange Money Europe Spécial Saint-Valentin

Pour fêter la Saint-Valentin, jouez et tentez de gagner deux bracelets de la collection « Let’s Commit » par le joaillier Courbet, en or jaune recyclé et diamant de synthèse !

Concours

Comment y participer ?

  1. Consultez la page Facebook Orange Money Europe pour jouer.
  2. Taggez deux personnes qui vont sont chères pour participer au tirage au sort.

Les gagnants seront contactés pour recevoir leur bijou en France ou en Belgique.

1er lot

Un bracelet cordon LET’S COMMIT orange corail en or jaune d’une valeur de 550€*

  • Bracelet en or jaune 750/1000 (1,00 g)
  • Polyester recyclé, fabriqué en France, orange corail
  • Diamant synthétique, créé en laboratoire
  • Poids : 0,15 carat
  • Couleur supérieure ou équivalente à F
  • Pureté supérieure ou équivalente à VS

Dans le cadre de son programme solidaire Let’s Commit, Courbet reverse 15% du prix de vente de ce bracelet à l’association « Save Children », dont nous sommes partenaires.

*Prix public.

2e lot

Un bracelet cordon LET’S COMMIT rose ballerine en or jaune d’une valeur de 320€*

  • Bracelet en or rose 750/1000 (1,00 g)
  • Polyester fabriqué en France, blanc ballerine
  • Diamant synthétique, créé en laboratoire
  • Poids : 0,05 carat
  • Couleur supérieure ou équivalente à F
  • Pureté supérieure ou équivalente à VS

Dans le cadre de son programme solidaire Let’s Commit, Courbet reverse 15% du prix de vente de ce bracelet à l’association « Save Children », dont nous sommes partenaires.

*Prix public.

http://Bracelet%20Let's%20Commit%20Courbet%20-%20rose

Les bracelets CO reprennent la symbolique, chère à Courbet, du C et du O.
Les deux premières lettres de Courbet forment le préfixe latin CO, qui veut dire « avec »,
et que l’on retrouve dans divers mots porteurs de sens et de valeurs.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le diamant synthétique, un nouveau diamant.

La vocation de Courbet, est de proposer une nouvelle joaillerie, écologique et plus éthique, moderne et très créative, respectueuse des savoir-faire. Les diamants sont créés en laboratoire par des hommes soucieux de la planète et de ceux qui la peuplent. Magie de la haute technologie, mystère de la science, les diamants sont aussi précieux que nos valeurs.

Le diamant synthétique s’évalue en fonction de quatre critères, exactement comme pour le diamant naturel : les 4 C : Carat (le poids du diamant), Color (la couleur du diamant), Clarity (la pureté du diamant) et Cut (la taille du diamant).

À ces 4C, Courbet en ajoute un cinquième : le C de Conscience. En employant des diamants synthétiques. Courbet revendique une alternative toute aussi positive que innovante, moins polluante et plus respectueuse socialement.

http://Courbet%20-%20le%20dimant%20de%20synthèse
http://Courbet%20-%20photo%20or%20recyclé

L'or recyclé, le choix écologique

De la même manière, pour l’utilisation que des diamants de synthèse, concernant l’or, la maison Courbet étudie les différentes options pour choisir celle qui respecte le plus l’écologie. L’or recyclé a remporté tous les suffrages, parce qu’il permet d’éviter l’extraction.

Même orchestré dans les meilleures conditions, le travail dans la mine reste extrêmement polluant. Il engendre la déforestation, une consommation excessive d’eau, la pollution des sites en raison des produits chimiques employés. D’un point de vue humain, les conditions de travail dans les mines, l’émergence de filières illégales, le financement d’économies parallèles sont des travers terrifiants. Courbet cherche à prendre du recul et chercher une alternative en cherchant à voir plus loin, à plus long terme.

Courbet fait  le choix de partenaires spécialisés dans le recyclage des métaux dont la spécificité est de recycler l’or utilisé à des fins industrielles, en électronique. Très résistant à la corrosion et excellent conducteur électronique, l’or a des propriétés qui le rendent précieux, au-delà du bijou.

Courbet récompensé pour ses actions positives

Le label Positive Luxury a pour ambition d’accélérer les initiatives écologiques et responsables dans l’industrie du luxe, et de saluer les marques œuvrant en ce sens. Dans le sillage d’une étude indépendante, l’organisation délivre ainsi la certification Butterfly Mark, gage aussi bien pour l’entreprise que pour les consommateurs d’une production et d’engagements durables et respectueux de l’homme et de la nature.

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Le programme solidaire de Courbet

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Le joaillier Courbet s’engage par le choix de ses matières premières responsables, mais pas seulement…
Il s’engage également à reverser 15 % du prix de vente des bracelets de la collection « Let’s Commit » pour l’association Save The Children.

Survivre. Apprendre. Et être protégé. Telle est l’ambition de Save The Children, depuis plus de 100 ans, pour que chaque enfant à travers le monde ait la chance qui lui revient. Pour ce faire, l’association agit afin d’éliminer les causes de mortalité infantile évitables, de garantir un accès à une éducation de qualité fondamentale et de bannir la violence à l’encontre des enfants, sous toutes ses formes.

*Grand Jeu de la St-Valentin du 24 janvier au 13 février 2022. Voir conditions du Jeu détaillées en cliquant sur le lien du réglement.

Actualités

Audrey Randriamandrato : « Parole aux femmes »

Malagasy Women Empowerment (MWE)

Depuis trois ans, l’ONG Malagasy Women Empowerment (MWE) lutte pour l’amélioration des conditions et des représentations de la femme malgache dans la société. Selon Audrey Randriamandrato, fondatrice de l’organisme, Madagascar a tout le potentiel pour revenir à la base de sa société : égalitaire.

Orange Money les soutient

« Aujourd’hui, les femmes malgaches souffrent encore des conséquences d’un système économique déficient. »

Malagasy Women Empowerment, en quelques mots ?

Nous faisions partie du mouvement Madagascar Will Rise mais nous sommes aujourd’hui une organisation indépendante. L’histoire est assez personnelle : survivante d’agressions sexuelles dans la rue et au travail, je me suis demandé qu’est-ce qui pouvait arriver à des millions d’autres femmes malgaches, peut-être cent fois pire. MWE lutte ainsi pour l’amélioration des conditions et des représentations de la femme dans la société. La représentation, car il suffit de taper « femmes malgaches » et « hommes malgaches » sur Google pour voir la différence de traitements…

Comment avez-vous évolué ?

En mai 2018, nous avons organisé un atelier à Paris, nous n’étions que cinq. C’était un échec parce qu’encore une fois nous nous sommes dit : la cause des femmes importe peu aux gens. Sans jamais cesser de travailler et d’y croire, nous avons aujourd’hui une équipe de 18 Empowered Changers en France, huit à Madagascar, bientôt une équipe au Luxembourg et l’objectif d’une centaine de candidatures bénévoles pour 2021. Nous n’avons pas reçu énormément de soutien au départ mais avec la volonté de six membres, nous comptons plus d’une vingtaine d’actions, plus de 1 000 sympathisants, et un budget annuel assez conséquent à partir de rien.

L’autonomisation des femmes malgaches reste donc un combat de longue haleine…

La femme malgache a une place très importante dans le développement du pays. Madagascar compte environ 25 millions d’habitants dont la moitié de la population est constituée de femmes. D’un côté, nous avons des activistes, des politiciennes, des scientifiques, des autrices (féminin d’auteur, NDLR), des fonctionnaires, des étudiantes qui se battent pour leurs droits en société… attention, aucun droit n’est acquis. ; de l’autre côté, nous avons une majorité précaire de femmes délaissées, je pense à toutes les employées de maison, les travailleuses du sexe, les femmes sans emploi, les femmes victimes de violence morale et physique qui, aujourd’hui, récoltent les fruits de l’indifférence. Aujourd’hui, les femmes malgaches souffrent encore des conséquences d’un système économique déficient. Elles sont beaucoup à se tourner vers la prostitution ou un travail « indécent » pour pouvoir nourrir leur foyer. C’est pourquoi en tant que privilégiées, nous luttons pour que la société malgache arrête de soumettre, d’effacer et de réduire les femmes au silence.

« En France, nous organisons des événements pour faire rayonner la cause des femmes de Madagascar. »

Quels types d’actions menez-vous, notamment auprès des jeunes ?

Chaque année, depuis deux ans, nous organisons l’événement du 8 mars. Nous avons organisé des expositions, une séance de film-documentaire (Womand’Anastasia Mikova et Yann Arthus-Bertrand au Cinepax), des journées récréatives dédiées à la santé sexuelle et reproductive des femmes. Cela fait maintenant trois ans que nous accompagnons des jeunes du Lycée Moderne Ampefiloha autour des thèmes du leadership, du management de projet, des relations amicales et amoureuses saines, mais également autour de l’éducation sexuelle éclairée. Nous avons réalisé une distribution de 200 packs de serviettes hygiéniques durables sur cinq ans à des jeunes filles d’Antananarivo, de Toamasina, de Fénérive-Est et de Toliara pour lutter contre la précarité menstruelle. Nous allons également engager une action pour distribuer des serviettes au sein de la prison des femmes d’Antanimora. Nous réalisons enfin des groupes de parole à Madagascar comme en France. En France, nous organisons des événements pour faire rayonner la cause des femmes de Madagascar.

Les projets ?

Le plus gros chantier que nous ayons cette année est le projet Ilotsaina sur le Centre d’écoute, d’éducation et de prévention sur la santé sexuelle et reproductive pour 3 000 habitants d’Ambohitrarahaba. Nous sommes aussi lauréates 2020 de l’appel à projets PRA/OSIM (Programme d’appui aux projets des organisations de solidarité internationale issues de l’immigration) du Forum des migrations (Forim) et de l’Agence française du développement (AFD) ; cela va nous permettre de financer le démarrage du projet cette année. En France, nous sommes également lauréates d’un appel à candidatures de La Cité Fertile, nous avons donc l’objectif d’organiser un forum autour de trois ODD (Objectifs de développement durable), « S’engager pour l’autre bout du monde », sur un week-end de trois jours en 2021. Notre projet à plus long terme est de pérenniser et de multiplier nos actions pour amplifier le mouvement en faveur du droit des femmes et de l’inclusion des hommes dans nos combats à Madagascar comme dans le monde.

Propos recueillis par #AinaZoRaberant

Actualités

Anzata Ouattara,

Journaliste, Autrice et Marraine du Trophée des Plumes 2021.

Originaire de Bondoukou au Nord-Est de la Côte d’Ivoire, Anzata Ouattara est une journaliste et autrice née en 1974. Elle possède sa propre maison d’éditions, les Editions Mouna, qui édite certains de ses ouvrages, mais elle est surtout reconnue pour la saga best-seller Les Coups de la Vie, qui met en scène des personnages marqués par des événements qui ont changé le cours de leur existence.

Non classifié(e)

Les Coups de la vie

Les nouvelles, publiées dans le magazine féminin Go Magazine, ont rencontré un tel succès qu’elles sont aujourd’hui adaptées sur la chaine A+Ivoire dans une série produite par Lully Grace Production. La série met en scène plusieurs étoiles montantes du cinéma ivoirien telles que Marie Josée Nene, Ephraim Oka, Stéphane Zabavy ou encore Ange Eric N’guessan.

 

Elle est l’une des écrivaines les plus suivies d’Afrique de l’Ouest, avec à son actif plusieurs prix récompensant son succès, dont le Prix de la Meilleure Vente 2013 de la Librairie de France en Côte d’Ivoire.

Son actualité

Elle est actuellement marraine du Trophée des Plumes 2021, le concours d’écriture organisé par Orange Money et YouScribe.

Le tome 7 des Coups de la Vie paraitra au mois de juin.
L’intégralité de la saga est disponible sur YouScribe, la bibliothèque numérique qui se déploie sur le continent africain.

Actualités

Y’Africa

La nouvelle scène artistique africaine

Initié par Orange, Y’Africa est une série de 13 épisodes qui a été diffusée dans 17 pays africains en 2020.
Le nom du programme est une contraction de l’expression « Africa Ya lelo » qui signifie « l’Afrique d’aujourd’hui » en Lingala.

Y’Africa a pour ambition de démontrer à l’échelle du continent notre engagement dans les cultures africaines. Cette série comporte 13 épisodes de 26 minutes. Chaque épisode dresse le portrait de 3 artistes africains contemporains aux parcours singuliers. Mélangeant les pays et les disciplines, le programme met en scène les artistes dans leur environnement de création. Chacun décrit son parcours, présente ses œuvres et sert de guide à travers sa ville.

Prochaine saison n°2

Fort du succès de la saison 1, « Y’Africa » reviendra cet automne avec une nouvelle saison diffusée sur 15 chaînes nationales africaines, sur YouTube et adaptée sous forme de podcast. Peintres, photographes, sculpteurs, chorégraphes, stylistes ou encore musiciens, « Y’Africa » mettra en lumière des artistes émergents de la scène africaine.

La saison 2 suivra 24 artistes issus de 8 pays : Botswana, Côte d’Ivoire, Guinée-Bissau, Liberia, Maroc, Sénégal, Sierra Leone et Tunisie. En attendant que soit, à nouveau disponible, la saison 1 et que paraisse la saison 2, je vous propose d’en goûter quelques moments et de découvrir en 1 mn certains de ces artistes.

1 minute avec Madame Nassara
Burkina Faso

1 minute avec Djoumii
Guinée